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Pour mon nouveau roman « Témoins d’un jour, témoins à vie », j’ai pris le parti de louvoyer entre des faits avérés, mes notes de voyages, nos propres aventures, et la pure fiction.

J’éprouve beaucoup de plaisir à jouer entre mon imaginaire et la réalité. D’ordinaire pudique, c’est un moyen pour moi de dévoiler ainsi, de roman en roman, un peu plus de mon intimité.

Pour réussir ce pari, aux seules fins de rendre l’intrigue plus palpitante encore, je me suis livré à une enquête de terrain minutieuse et fort documentée. Que ce soit pour l’incendie de la « Brasserie des 2 Garçons », pour la découverte de San Francisco ou encore de la Polynésie française et de la Corse, que ce soit les lieux médicalisés et leurs personnels fréquentés par nos deux héros, la réalité dépassera tellement la fiction, que vous plongerez dans l’une et l’autre comme si vous y étiez.

Et pourtant, … Pourtant, j’aurais sans doute dû prendre la précaution d’écrire au début du roman cette mention :

 » Ce livre est une oeuvre de fiction. Les personnages et les évènements sont le fruit de l’imagination de l’auteur ou utilisés fictivement. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou mortes, des événements serait pure coïncidence.existant ou ayant existé ne serait que totale coïncidence ! « 

Mais, que voulez-vous … Cet oubli est certainement lié à l’innocence du débutant.

• Lire le début de « Témoins d’un jour, Témoins à vie »
• Communiqué
• Se procurer le roman : Aux Éditions du Cordeau en format papier ou ebook : C’est par là ou À commander chez les libraires (distribution Hachette) / Et bientôt chez Amazon, Le Furet du Nord,… …

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