Je me posais la question après le billet d’humeur de la semaine dernière si, avec Pascal, nous n’étions pas au fil de l’eau à radoter ensemble, de tourner en rond au regard de nos inhibitions ?
Et puis finalement, je me suis dit NON !
Il m’a été donné depuis plus de trois ans de collaboration (c’est ce qu’il me semble) de virevolter sur les billets de Pascal. J’espère au mieux dans l’inspiration. Je voulais vous exprimer ce respect et cette complicité que je vous souhaite, à vous lecteurs, avec un être cher.
Il me fait ses commentaires en « Off ». Ceux-là, désolé, je ne vous les partagerai pas. C’est « Off ».
Mais je souhaitais encore une fois vous faire partager cet immense bonheur de la fusion de deux écritures qui ne sont qu’une. De deux êtres qui ont tellement de points communs et qui vivent dans des corps séparés, mais avec le même esprit. Sans rentrer dans l’impudeur, bien sûr.
Nous avions déjà échangé nos rôles dans un précédent billet et Pascal avait souhaité renouveler cette expérience. Mais comme je savais qu’écrire chaque semaine un nouveau billet était compliqué, j’avais tortillé du nez, voire d’autre chose. Mais qu’importe !
Je me disais que nous regardions avec beaucoup d’affection nos nombrils pour décrire, ce qui parfois ne sont que nos ressentis, des simulacres de réalité, bref, (comme le titre d’une série), notre vie et non pas la vie.
Mais comme au fil du temps, nous avançons cœur dans le cœur, bien plus que main dans la main, c’était peut-être le moment de vous partager nos peurs. Celles de l’écriture mais également celles de notre regard et aussi celles de plaire chaque semaine à nos lecteurs. Une simple angoisse ridicule devant les événements du monde que nous vous échangeons au fil des semaines, des mois, des années. Mais un stress d’une envergure variable en fonction des saisons.
Au moins cela est fait !!!
Aussi vous dire que parfois, nous n’avons rien à dire, mais que notre volonté de produire et d’échanger avec vous est toujours la plus forte, pour venir frapper à votre porte, et sûrement à la nôtre.
Alors, ce billet ne se veut que la description d’une insondable passion, non pas charnelle, ni intellectuelle d’ailleurs, mais humaine d’une rencontre fortuite, il y a plus de 25 ans.
Ce cérémonial du dimanche soir, le « Pascal Sunday Mail » me fait toujours autant vibrer. J’espère autant que vous. Vous donner l’énergie de l’éventuel spleen du dimanche soir, c’est un espace collaboratif « 3.0 ». Il est peut-être « 0.0 », qu’en savons nous ? En tout cas, il me semble vrai, sans artifice, ni malice.
C’était ce bonheur et notre partage avec Pascal après toutes ces années que je souhaitais vous exposer dans ce billet qui n’a pas d’humeur mais surtout du cœur.
Vous pourrez le penser impudique mais nous vous partageons le véridique.
Nos nombrils rayonneront encore plus de mille feux, ou ils nous rendront encore plus humbles…
C’était les coulisses des billets qui ne seront jamais en vacances, croyez-nous !!!! »
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Et exceptionnellement, l’inspiration de Pascal
Encore un billet
Un billet d’humeur,
Un exercice échangiste
De deux camarades pigistes,
Avec l’espoir de communiquer
Le bonheur de partager
Découvrez les poèmes de Didier Regard et aussi ses tercets
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Alain S
/ 16 juillet 2017Heureusement, Pascal et Didier, que vous n’êtes pas en permanence sur la ligne de crête des plus hauts somments : vous êtes humains et les variations de vos inspirations nous rassurent. Et vos sujets sont toujours pertinents.
Mais ce qui est certain, c’est que le plaisir de vous lire est toujours là. Et comme le renard du Petit Prince, nous sommes apprivoisés.
Surtout, ne cherchez pas « à nous plaire » : restez comme vous êtes, c’est très bien comme cela.
Amicalement
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pascalaunay
/ 17 juillet 2017Merci beaucoup Alain. Tu viens de mettre un sacré combustible dans nos moteurs !
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Alain S
/ 17 juillet 2017Les moteurs, c’est (ou plutôt, c’était) mon domaine 😀
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