Tuer le temps ou en gagner : le formidable paradoxe

Pour la majeure partie d’entre nous vivant de ce côté-ci de l’Atlantique, nous venons d’accepter que ce dernier dimanche d’automne, à 3 heures du matin, il n’en soit que 2.
Rendez-vous compte ! En agissant de la sorte, nous nous sommes collectivement rendus complices de « Serials Killers » des temps modernes … si l’on peut encore parler en 2017 des temps modernes, pour un dispositif créé en 1973 !

Néanmoins, ce n’est pas le pire risque que nous avons pris. En fait, nous tutoyons de près la schizophrénie collective deux fois par an. Eh oui mes amis, nous venons de tuer le temps pour en avoir … Tout comme au printemps, l’on en gagne pour en perdre !

Je vous laisse reprendre vos esprits, c’est un paradoxe qui vaut bien quelques secondes de réflexion.

Excellent week-end et à ce soir, pour de nouvelles humeurs hebdomadaires !