MILOS, et le Mystère de la Vénus de Milo

Milos : après Cagliari, Tunis et Oudna, Agrigente, La Valette, Pylos, et Cythère, voici la septième des 10 escales du voyage que je vous propose en Méditerranée. Un voyage qui nous conduit à Athènes.

Tout d’abord, pourquoi l’île s’appelle-t-elle Milos, alors que l’on parle de la Vénus de Milo ?

Eh bien, la langue grecque est la championne de la déclinaison grammaticale. Elle décline aussi tous les noms. Même les noms propres. Lorsqu’ils sont sujet, ils se finissent avec un « s », et lorsqu’il s’agit du génitif, le « s » disparait.

C’est tout à côté du théâtre romain, qui offre une vue magnifique sur la mer Egée, que la célèbre statue a été découverte couchée et enfouie partiellement. Sur le site, les grecs ont érigé une copie de la statue dont l’original est jalousement exposé au Musée du Louvre à Paris.

Perle volcanique des Cyclades, Milos nous a séduit par ses paysages, ses criques turquoise aux reflets rose ou or, et son charme authentique.

Entre ses plages aux roches blanchies par le kaolin, et ses catacombes antiques chrétiennes, Milos est l’expression même d’une Grèce sauvage, lumineuse et captivante.

À Milos, nous avons découvert des paysages incomparables et des décors à couper le souffle. Et puis, des sols d’albâtre nous ont révéler l’existence ancienne de mines de kaolin. Extraordinaire !

Pour admirer l’architecture traditionnelle cycladique de l’île, vous n’aurez qu’à cheminer au sein de la petite capitale de Milos.

L’île mêle, falaises sculptées par le vent, villages blanchis à la chaux, et traditions grecques préservées. Elle vous laissera un très beau souvenir.